Joker : Folie à Deux (infos et spéculations)

[Darkcook]

En tant qu'énorme fan du premier film, je ne pouvais pas laisser passer la sortie du trailer du 2, qui a l'air complètement hallucinant...

Je retiens surtout la réalisation, qui a l'air aussi magistrale que dans le 1...

J'étais très sceptique sur les annonces à l'époque : Le premier film n'avait pas besoin de suite, j'avais peur que ça réduise son impact, et alors quand on a su que ce serait une comédie musicale, même moi qui suis fan, j'avais vraiment peur du résultat..

Là, je veux être dans la salle de ciné day one.

[Daredevil]

Personnellement, j'ai bien aimé Joker mais sans plus...
Si Joaquin Phoenix livre une remarquable interprétation du Joker, j'ai trouvé que l'histoire manquant cruellement de finesse et de subtilité où tous les riches étaient dépeints comme des gens égoïstes et hautains.

Pas un mauvais long métrage à mes yeux, mais pas un grand film non plus.

Je ne pense pas pour ma part que j'irai voir Joker folie à deux. Le premier film m'a suffit.

[Benco]

où tous les riches étaient dépeints comme des gens égoïstes et hautains.

J'ai pas souvenir de ça concernant les Wayne...

[Static972]

De mémoire,

Thomas Wayne se révèle être le père d'Arthur et l'a abandonné. il lui crache au visage quand Arthur revient le voir pour le confronter à sa paternité.
De façon générale, les riches sont effectivement dépeints comme des salauds, très peu subtilement il est vrai, entre les trois traders qui agressent gratuitement Arthur dans le métro, le présentateur interprété par De Niro qui le méprise ouvertement et même Thomas Wayne qui se lance dans des diatribes contre les défavorisés qu'il accuse de plonger la ville de Gotham dans le chaos.

[Benco]

Merci pour m'avoir rafraichi la mémoire !

[Chernabog]

Nuançons un peu en rappelant que le film ne confirme pas formellement que l'histoire de Penny Fleck est vraie, il est possible que sa liaison avec Wayne ne soit qu'un délire de sa part. En ce cas, la réaction de Thomas serait légitime, Arthur devenant un type très louche surpris par Alfred en train de mettre ses doigts dans la bouche du petit Bruce !

Mais il se montre certes clairement méprisant en interview en parlant des pauvres, faisant une citation quasi-macroniste du style "ceux qui n'ont jamais rien fait de leur vie".

Ceci étant dit, peu de gens sont de toute manière montrés comme sympathique dans le film, peu importe leur classe sociale.

Et ajoutons enfin que la fin du film met presque le doute sur tout ce qui est raconté, qui pourrait là encore être (ou en tout cas largement) le fruit de l'imagination d'Arthur interné à l'asile.