Le Batman de Burton Vs le Batman de Nolan

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48%
 
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Le Batman de Burton Vs le Batman de Nolan

Messagede Septon » Jeu 27 Oct 2005, 19:48

Suite à la discussion à propos des adaptations de Burton et Nolan sur un autre topic, je propose de la continuer ici. Dans la foulée, j'ai transformé ce topic en sondage et j'ai rajouté Joel Schumacher pour la forme - Hadès :-)
________________________________________________________________________________________________________________
Voici une analyse très intéressante opposant le vision de Burton à celle de Nolan ! (en anglais)

Franchement, à lire !

http://cc.usu.edu/~alexjack/viddiedreviews/batmanbegins.html
Septon
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Messagede Hadès » Jeu 27 Oct 2005, 19:53

Merci Septon. J'essairai de traduire certains passages à l'occasion pour certains forumiens : mais c'est loooooooooooooooong et j'ai la flemme today :lol:
:Joker: AhahHaha HahaHA HihIHihIiHi hAHahA HihIHihIiHi AhahHaha HahaHA HihIHihIiHi hAHahA HihIHihIiHi AhahHaha HahaHA HihIHihIiHi hAHahA HihIHihIiHi AhahHaha HahaHA HihIHihIiHi hAHahA
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Messagede Septon » Jeu 27 Oct 2005, 19:54

Héhé, pas d'prob ! Ca serait cool. :D
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Messagede Darkseid » Jeu 27 Oct 2005, 19:55

Je lirai ça quand j'aurais le courage de m'y mettre !
"Bienvenue à Apokolips M. Manheim."
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Messagede Septon » Jeu 27 Oct 2005, 19:56

En tout cas ça vaut l'coup ! :wink:
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Messagede Benco » Jeu 27 Oct 2005, 20:11

C'est long, c'est en anglais et en plus c'est sur un écran : trop dur pour moi.
J'attendrai vos commentaires sur cette analysé pour m'en faire une idée :lol:
Benco
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Messagede Pottio © » Ven 28 Oct 2005, 11:31

Mais j'ai traduit le texte avec google :

"si vous vous consacrez à un idéal, vous devenez autre chose entièrement." "et c'est?" "une légende, M. Wayne." - le passage tôt du dialogue dans Batman commence. En ce qui concerne, la plate-forme est empilée contre Batman commence. Tim Burton a déjà fait le film définitif de Batman avec l'original 1989. Naturellement, il a baisé vers le haut de la suite en étant lui-même, mais cela fait peu pour diluer le righteousness idéologique du premier. Vous voyez, en faisant à son film de Batman un film d'"origine", directeur Christopher Nolan humanise Batman. Il le montre prenant la décision pour devenir une "légende," ou comme il mentionne plus tard, un "symbole" plutôt qu'un homme. Dans le film de Burton, Batman est déjà une légende et un symbole et depuis longtemps a cessé d'être un homme.

Les possibilités dramatiques de l'approche de Burton peuvent même être plus riches ce Nolan; Je ne pense pas j'ai vu que quelque chose dans Batman commence que résonné aussi profondément pour moi en tant que cette scène dans l'original de Vicki Vale réveiller et voir son accrocher de Bruce Wayne d'amoureux à l'envers sur son menton-vers le haut barre... comme une batte. Il y a quelque chose de impénétrable au sujet de Wayne, quelque chose de étranger que Vale ne peut pas même commencer pour comprendre. Batman de Burton est l'étranger final, et son film souligne et internalise la tragédie romantique du caractère. L'arc de Batman commence est comparativement beaucoup plus conventionnel. Batman de Nolan est accessible à l'assistance et, ce qui est plus mauvaise, est sain et capable de la croissance.

Mais j'obtiens en avant de me. Cette scène de menton-vers le haut, il est caractéristique de l'approche esthétique entière de Burton avec le film. Il est pas du tout réaliste, mais il est pas du tout campy l'un ou l'autre. Que la scène de menton-vers le haut est des utilisations patently absurdes, mais de Burton que l'absurdité en tant que sa base et son film développe son propre sens de la logique. Batman de Burton est sérieux hyper-stylisé et de mort. J. Hoberman a exactement décrit son positionnement en tant que "notre équivalent au cycle de l'anneau de Wagner." Batman legitimized le format graphique de roman pour moi. Il m'a aidé à le voir comme forme véritable d'art. Plutôt qu'une réflexion de réalité, le roman graphique est d'une manière flagrante abstraite et expressionistic et, une fois pris sans ironie, monte beaucoup au plus facile mythique et archetypical que n'importe quelle approche réaliste peut. Considérez que Dr. Jonathan Crane de Batman commence identifie explicitement le sien l'alter ego l'épouvantail comme "archétype de Jungian." Batman n'a pas vu ceci selon les besoins; l'idée que Batman et le joker étaient des archétypes de Jungian jamais a été directement mentionnée dans le texte et n'a pas eu besoin d'être. Le film lui-même est illustration pure. Considérez également que la balle chrétienne fait campagne pour une coupe R-évaluée de Batman commence à être libérée en même temps que la version théâtrale sur DVD. Il veut pouvoir explorer le "sexuality de Batman." La curiosité fine s'assurera que je vérifierai qu'une dehors si il jamais réalisez-vous, mais il est aussi inutile à la lumière du film de Burton. Il y a une scène dans Batman où Batman prend Vale à son Batcave, lui donne l'antidote aux intoxications de masse du joker's, et puis clôture l'affaire par le chuchotement, "vous avez quelque chose que je veux" et drapant son manteau au-dessus d'elle. Le noir de tours d'écran et alors nous avons coupé à Vale se réveillant dans le lit. Les poulets de film dehors et définit "quelque chose que je veux" comme les photos Vale ont pris de lui. Mais les visuels jusqu'à ce point suggèrent qu'il l'ait violée. Le joker a le viol sur son esprit également, mais il est différent avec Batman. Avec le joker c'est un scénario franc de damsel-dans-détresse, mais avec Batman, Vale semble avoir un souhait subconscient à prendre par lui. Il y a ce fantôme romantique de la qualité d'Opera/Candyman à cette image de Vale étant enveloppée dans l'obscurité pure. Ampèreheure, voilà. Le joker idéalise le viol en termes masculins; Vicki Vale est beau et il veut la défiler. Batman idéalise le viol en termes féminins; il l'enveloppe à son monde. Le joker représente la commande masculine de sexe, qui est domination, tandis que Batman représente la commande féminine de sexe, qui est assimilation. S'il semble que Batman ne domine pas le film comme le joker , il peut être parce que le joker est un individu et Batman est essentiellement une construction féministe idéalisée. Je devine que ce qu'atteins j'est ce Tim Burton, encore, lui a obtenu la droite la première fois dans le respect au sexuality de définir Batman. Il a proposé quelque chose qui était provocatrice et qui a fonctionné merveilleusement, et il a fait ainsi avec la grande économie. Passant, j'ai toujours vu Batman en tant qu'étant au sujet de la convergence des forces d'Apollan et de Dionysian. Comme Dionysus, le joker porte le pourpre et a été ressuscité des morts. Les parallèles entre Batman et Apollo ne sont pas comme manifestes, mais sont toujours tout à fait présents. Le batwing de Batman remplace le chariot d'Apollo par le ciel et son Batsignal remplace le soleil d'Apollo. Apollo et Dionysus n'étaient pas des ennemis réels, qui simplement les moyens que Batman et joker ne sont pas directement représentant des dieux grecs mais des deux éléments contrastants de la ville de Gotham: ordre et contrainte (l'Apollan Batman) contre le chaos et l'appétit déchainé (le joker de Dionysian). Un plus collant si peut-être plus simple et une manière plus vive de le voir est en tant que "Darth Vader contre Jabba le Hutt," où on doit choisir entre la loi et l'ordre (qui sert à inspirer et fait peu pour empêcher l'élévation d'un état fasciste) ou anarchy non réprimé. En dépit d'une offre de sa main au joker avant qu'il tombe à sa mort, Batman n'est pas vraiment un film moral et ne traite pas vraiment les issues morales. Le film est Nazi-esque dans son renversement Nietzsche en l'adoptant (le film par définition montre triompher overman idéalisé des éléments de Dionysian), et Gotham ressemble à Berlin de Leni Reifenstahl dans son mélange d'architecture domineering et de vieux charme folksy du monde. Dans sa simplicité, Burton permet à une idéologie fasciste de germer, et en conséquence a créé véritablement une obscurité et un superhero moralement ambigu. Ce n'est pas le cas avec Batman commence. En ce film, Bruce Wayne est formé par la ligue des ombres, un culte mongol souterrain des vigilantes. A demandé à exécuter un criminel, Wayne refuse et brûle en bas du hideout secret. Il alors va de nouveau à Gotham et devient Batman. Il y a des retours en arrière au dégagement de prison du froid de Joe, le meurtrier des parents de Wayne. Wayne le projette sur le massacre lui-même pendant qu'il laisse son audition, mais le carmin Falcone, un patron de foule avec un vendetta contre le froid, y arrive le premier. Quand il confronte son ami Rachel Dawes d'enfance avec son plan original, elle le gifle et lui dit que son père aurait honte de lui. Dawes agit en tant que bonne conscience morale dans le film, arguant du fait qu'il y a une différence entre la justice et la vengeance. Après cette confrontation et sa réfutation suivante de la ligue des ombres, Wayne décide de devenir un instrument de justice. Vraie justice. Batman commence doit être recommandé pour définir clairement ce que signifie il par bon et mauvais. Peu de films, en particulier peu de films d'action d'Américain, semblent avoir évolué à ce niveau de pensée. (je me suis amusé pour voir l'organisation blanche Stormfront.org de supremacist embrasser le seigneur des films d'anneaux en tant que "bons films blancs de personnes." Tandis que le seigneur des anneaux est essentiellement comme Aryan car la Chambre des poignards volants est chinoise, elle a près d'aucun vrai contenu politique -- les parallèles de la guerre mondiale II semblez être entièrement superficiel -- et ne peut pas se protéger contre être approprié par le supremacist blanc.) Mais naturellement une fois que le film se place dehors sur la ligne, il tout sauf des signes sa propre garantie de la mort. Je ne pense pas que ses passages philosophiques d'épine dorsale vraiment se rassemblent. J'ai commencé à sentir les doutes quand Bruce Wayne a refusé d'exécuter un prisonnier disant à Ducard et à Al Ghul, les chefs de la ligue des ombres, que la compassion "est ce qui nous sépare d'elles." Ceux de nous qui se rappellent la fin à Dogville de Lars Von Trier's collectivement pour grimacer. Fondamentalement Wayne indique que c'est une compassion qui sépare vous et moi (les philosophes moraux financièrement confortables) d'eux (la classe criminelle). La bataille pour l'âme de Gotham est combattue parmi l'élite socio-économique de Gotham: entre Bruce riche Wayne, la ligue exotique asiatique des ombres, et le Dr. pompous Jonathan Crane. Le long de la manière, Wayne obtient du conseil de son maître d'hôtel et Dawes britanniques, qui est l'aide D.a de Gotham. Le maître d'hôtel et la poursuite D.a. ne sont pas les caractères véritablement populistes; plutôt ils existent comme liaisons entre les masses et l'élite. Les personnes travaillantes de Gotham n'ont pas vraiment une parole à sens unique ou l'autre. La pauvreté a apparemment engourdi leur boussole morale et elles servent de gages des mauvais types ou d'enfants (retards de morale) à protéger par les bons types. Le seul caractère qui obtient de représenter "le peuple" est probablement lieutenant Gordon, un chat total sans la vision et les cajones la taille des raisins blancs qui finit vers le haut de commissaire devenant Gordon en faisant exactement ce que Batman lui indique pour faire. Après avoir avec succès contrecarré les bandits en faisant sauter leur voie de monorail, Gordon hurle même passionnant "OUI!" cimentage du contingent d'enfantillages sur sa classe socio-économique. Est vous voyez cette ligne au sujet de la compassion nous séparant d'eux, il ce qu'homme de Dogville le grand a appelé arrogance. Dans la vue de Nolan, le froid de Joe n'a jamais eu un choix pour ne pas tuer les parents de Wayne. Le lieu de la commande était toujours avec un certain mastermind criminel obtus, qui a les ressources pour créer un environnement dans lequel le froid moralement retardé peut suivre sa nature criminelle, et qui a les ressources pour prendre les décisions morales évoluées qui nous séparent d'elles. Il y a autre, discutablement beaucoup plus sérieux, problèmes. Le facteur formateur derrière le vigilantism de la ligue des ombres est l'impuissance inhérente de notre système idéalisé de justice. Tout idéal qui permet des criminels en arrière sur les rues est vu comme moralité slave. Maintenant, je suis tout à fait le gauchiste et crois en ces idéaux plus élevés que Batman combat pour, mais il y a une légitimité à la ligue des ombres au sujet des lesquelles Batman commence est inconfortablement renvoyé. Il est facile pour le film de prononcer qu'accusés sont innocents jusqu'à coupable prouvé et aux travaux et au cetera américains de système de justice quand ils ne doivent pas examiner ces insuffisances inhérentes. La manière dont elles lui présentent, combattant pour les forces de la justice vraie semble comme un aucun-brainer. Batman commence n'est pas un film très complexe ou provocant; plutôt, il est placating et confortable. Comme l'Araignée-Homme de SAM Raimi, ce superhero a quelques problèmes lourds mais les conquiert, avec succès neutralisant n'importe quel conseil de l'ambiguïté morale ou des nuances de l'obscurité dans le caractère. Pas du tout comme le film de Burton, où Batman et joker ont habité le vide provoqué par l'échec du système de justice. Le joker exploite le criminel nouveau-a trouvé la liberté tandis que Batman cherche à rétablir l'ordre sur Gotham. C'est certainement plus complexe que quel Batman commence nous donne, mais il est plus difficile bien. Alors il y a la fin, où Batman indique l'archvillain qu'il ne le tuera pas, mais n'a aucun problème le laisser mourir. Lisse. Quand Batman atteint dehors pour sauver le joker et pour lui apporter à la "justice" avant qu'il ait glissé et soit tombé à sa mort dans Batman, cela était lâche. Ils ont retiré de rendre Batman trop foncé parce qu'ils n'ont pas voulu aliéner leurs assistances. Quel Batman commence fait, cependant, est bien plus mauvais. Il est complètement hypocrite. Les filmmakers comprennent que leurs assistances ne se tiendront pas pour voir le mauvais type être vivantes capturé et pris à la prison. Ils doivent faire le tuer Batman de façon ou d'autre. Et ainsi ils ont cette fin, qui viole la continuité idéologique du film tout en ne l'approfondit pas ou ne complique pas. Batman se dégage toujours sentir comme des roses vers la fin de l'image. Je sais que j'ai probablement écrit à manière trop au sujet de Batman de Burton pour ce qui devrait avoir été un examen de Batman commence. Je crains que j'aie pu avoir abîmé n'importe quel examen officiel de l'original. Mais donné la grande marée de la réaction critique félicitant ce film pour être la version "vraie" de Batman, la version qui lui obtient la droite, ou la version qui remplace le film de Burton pendant que le film final de Batman, et le cetera, j'estiment que c'est mon devoir à fortement et dans le grand détail parlent en faveur le contraire. Batman de Tim Burton est un chef d'œuvre d'art de bruit. Car il n'y a aucune manière dans l'enfer que nous verrons toujours toujours JAMAIS une vraie adaptation de la nuit foncée de Miller franc retourne, c'est Batman et pas Batman commence que des servir le plus étroit nous viendra probablement à une parenté spirituelle avec le roman graphique aimé. Burton l'obtient; son film est noir comme nuit, insanely voyant et fâché, et travail de la proche-pureté. Ses compromis peu, Batman est en tant que courageux un film de Batman car nous sommes susceptibles de voir. Quoi de plus que nous disons à son sujet, Batman commence est en revanche, un crowdpleaser soigneusement calculé. Envoyez au courrier de haine ma manière, Batman commence des ventilateurs, ou les améliore encore, visite mon panneau de message, parce que je le veux dire. Une fois vu avec des normes réduites, pour ceux qui ne s'attendent pas un film particulièrement brillant (comme Batman ou Dogville par exemple) mais à des plutôt juste deux heures de divertissement plein d'été, Batman commence est crème pure. Je puis certainement voir pourquoi tant de critiques ont pr3maturément obtenu tous humides et tracassés pour lui. Allant au cinéma sur une base hebdomadaire, je puis garantir pour la façon dont la rejuvenating se sent pour voir un film qui excite visuellement et implique avec émotion. Ce devrait être éloge faible pour dire que Batman commence obtient les fondations nues droites, mais assez tristement il n'est pas. L'observant, j'ai senti comme un peu un schmuck juste ayant glorifié la vengeance du Sith. Vrai, avec ses thèmes véritablement foncés, le protagoniste été en conflit et le romanticization collant de la vengeance de côté en noir du Sith étaient réellement considérablement plus provocateurs que Batman commence. Mais en même temps, ce film est ainsi bien-fait et si efficace à ses propres conditions qui je commence à me sentir comme j'avais félicité George Lucas pour pouvoir attacher ses chaussures et essuyer son âne. Regarder les noms dans la fonte de Batman commence, mon impression initiale était que les filmmakers ont eu un compte de chèque sans fond et irrésistiblement un matériel attrayant. Le bâti est dreadfully banal. Chaque partie, n'importe comment petite, semble avoir été remplie de plus de talent qu'est réellement nécessaire. Mais vous savez ce qui? Je ne sais pas pourquoi je me plains à ce sujet. Au degré qu'elle distrait, elle distrait d'une manière agréable. Et d'une manière primordiale, aucun de ces acteurs ne la téléphone dedans ou saisit juste un chèque de règlement. Il est tout les professionnels consommés et travaille dur à trouver un angle dans leur caractère. Je sais que Morgan Freeman a indiqué qu'il a pris ce rôle pour l'argent, me faisant la merveille pourquoi exactement il a signé dessus pour l'impact profond et la toute-puissant de Bruce. Mais tous les mêmes qu'il se sent beaucoup plus à sang chaud ici qu'il a été dans la plupart des toute autre chose je l'ai vu dedans. Il joue le renard de Lucius, une sorte de chiffre de Q que les entreprises de Wayne a stockée loin dans leur département militaire de recherches et de développement pour poser trop de questions. Il est un scientifique brillant, surveillant la création de tous les "jouets de batte" et fournissant un antidote au poison hallucinogenic de l'épouvantail dans un délai de 48 heures d'obtenir un échantillon, mais maintenant il travaille fondamentalement en tant que commis d'entrepôt. Outre du dessus de ma tête, je ne puis pas ne penser à aucun acteur mieux adapté à ce rôle, et je ne puis pas ne penser à aucun rôle mieux adapté à cet acteur. Le persona de Morgan Freeman est celui d'un cynique défraîchi. Il comprend le vieil âge mieux que la grande majorité de ses contemporains: son corps ira bien plus tôt que son esprit, et ainsi il a l'abondance du temps au pontificate le monde environnant et sa vie gaspillée. Son prendre Q est en conséquence véritablement tragique et très drôle; nous l'imaginons ramper hors du lit chaque matin pour travailler ce travail de crotte qu'il est énormément surqualifé pour, après avoir appris à rire de toute la ceci un bon il y a bien longtemps, de peur qu'il soufflent ses cerveaux et aient laissé ces bâtards gagner. Michael Caine fait un grand Alfred; son accent de Cockney assez étrangement semble accentuer l'humeur britannique distinctement sèche dans son dialogue. Il travaille réellement bien mieux que Michael Gough, qui a joué le rôle dans les quatre premiers. Rutger Hauer apporte une charge gentille de replicant/vampiric à la partie mineure du CEO d'une entreprise de Wayne; c'est comme quelque chose que vous n'avez pas su que vous avez voulu jusqu'à ce que vous l'ayez obtenue. Liam Neeson semble avoir fondé sa place en jouant des bandits; ses piety et manque tiresome de n'importe quel charisme normal se prêtent facilement à la cruauté glaciale d'un Batman l'anti-Christ. Le film a un peu de charge de voir le pistolet de Fonda d'henry en bas d'un garçon pre-pubescent dans Sergio Leone il était une fois dans l'ouest. Gary Oldman descend à un début rocheux comme lieutenant Gordon en essayant un accent Irlandais-Américain terrible, mais son wimpiness large-eyed, une fois divorcé des éléments sociologiques du film, a toujours une bonne charge forte et des gels avec le persona de l'acteur. Je ne suis pas sûr si je l'aime, mais cela fonctionne. Le junior de Boone de marque est typecast car une cannette de fil corrompue de slobbish, et pour une raison ou autre ne résonne pas aussi profondément que les moins William vu Hootkins dans Batman, qui a joué un rôle semblable. Peut-être il est parce que Nolan le montre mangeant. Mais de toute façon, c'était amusement à hurler hors du l'"regard, c'est junior de Boone de marque" à l'écran et comme avec Hauer, j'aime les bagages qu'il apporte à l'image. Les mémoires du souvenir, du Se7en, et même du salon d'arbres peuvent seulement aider l'image en ce qui concerne je. Naturellement, les filmmakers ont montré une certaine imagination en remplissant rôles de Batman/Bruce Wayne, Rachel Dawes et Scarecrow/Dr. La grue, et moi croient qu'elle plus qu'a été payée au loin. J'aime toujours la balle plus que chrétienne de Batman de Michael Keaton. La balle remplace le chuchotement doux par un grondement et cela plaine juste ne fonctionne pas; il est comme un Batman eteint en large jour. Mais Bruce Wayne de la balle m'a impressionné. Je pense que le seul l'autre film que j'ai vu la balle dedans était psychopathe américain, et ainsi je ne suis pas sûr que d'autres ont eu la même expérience, mais je l'ai fortement associé à ce caractère spécifique. En voyant les bas de page j'ai commencé à penser que son Bruce Wayne serait un redux de Patrick Bateman. Bien, je l'ai sous-estimé. Les bagages psychopathes américains de la balle aident à se mélanger un peu de la bile dans les démarches; Wayne a toujours un tad de Patrick Bateman nager autour dans lui. Mais la balle parvient à dépasser finalement ces origines. Son Bruce Wayne est réellement plutôt likable. Les scénaristes ont mis une peu de viande sur ses os; Wayne est naturellement un peu le garçon d'un papa, et la balle saute sur ceci et l'emploie pour ramollir le caractère vers le haut d'un peu. En effet, si c'avait été n'importe quelle autre histoire de Batman, il est possible que le film se dégénérerait dans le superficiel et le caractère ne pourrait jamais se divorcer de l'ombre de Patrick Bateman. Je ne puis pas feindre pour être neutre ou à tou'objectif à ce sujet, mais Katie Holmes le fait pour moi. Le rire, les yeux de soucoupe, le gros visage de bébé, le virginity perpétuel; Je suis juste simplement dans l'amour avec elle. Pas tout le monde sent la même chose, qu'I pourquoi je suppose je lui a considérés un peu un risque en étant moulé en tant qu'intérêt de l'amour de Batman. Une fois que nous voyons le caractère en tant que petite amie d'enfance de Bruce Wayne qui est maintenant un mandataire idéaliste, Holmes commence à ressembler à un choix évident. Ni Holmes ni les scénaristes ne voient son deliciousness de cutie-pâté en croûte comme problème qui doit renverser ni en tant que quelque chose qu'elle peut juste marcher son exécution dessus. Au lieu de cela, ils construisent là-dessus. Une scène où elle tire un pistolet d'étourdissement pour défendre outre d'attaquer accentue sa vulnérabilité distinctement féminine tout en ayant les moyens le caractère un certain degré d'autonomie. Elle ne se dégage pas en tant que fille de Powerpuff. De même, même lorsqu'elle joue le damsel dans la détresse, son caractère est fait pour être le centre moral du film et est eu les moyens ainsi un poids thématique et psychologique substantiel. Je ne suis pas sûr si Batman commence est une image féministe, mais c'est prise sur la politique de genre ne se sent pas terriblement malsain. (si quelque chose, le film pourrait être discuté à l'emasculate Batman en le mettant dans les limites du garçon du papa particulièrement wussy; la raison pour laquelle je n'ai pas couvert que la terre est parce que je pense que le coupable en chef derrière Batman changeant est l'approche humancentric elle-même.) Cillian Murphy, un acteur que j'ai été autrement peu familier avec, est brillant comme épouvantail. Hee de Hee, quelle boule de boue! Son Dr. Jonathan Crane est un bâtard complètement putréfié qui obtient une coupe pour déclarer les goons du patron local de foule légalement aliénée dans une cour de loi. Quand les choses disparaissent aigres, il empoisonne le patron de foule avec un hallucinogen crainte-induisant et le maintient dans une camisole de force dans son asile. Murphy suinte l'arrogance choyée par un androgyny de garçon; il s'amuse doucement par torture psychologique et considère son evilness avide comme une certaine sorte de droite divine. J'aime le moment, vu dans le bas de page, où il a enlevé Katie Holmes et silences ses gardes quand il pense que Batman est venu pour la sauver. Comme Kakihara dans Ichi le pin de tueur ou de copain dans l'Incredibles, il est un junkie de tressaillement devenant humide à l'idée d'obtenir son âne donné un coup de pied par le superhero. Si ce n'est pas la première fois qu'il sourit dans le film, il se sent au moins comme il est. Je suppose que je n'ai pas beaucoup à dire au sujet des éléments visuels du film, mais je sais que Nolan hors et hors des ongles la scène à son apogée de bataille. Les hallucinations de l'épouvantail terrifient véritablement; assurez-vous que vous voyez ceci dans un théâtre avec un bon système pour l'effet maximum. Nolan a la contrainte aussi. J'aime comment il annote au-dessus d'une scène où Bruce prend deux supermodels européens au dîner, dont tous les deux commencent promptement à se baigner dans la piscine décorative du restaurant. Il est plus drôle que ni Wayne ni les modèles ne fassent une affaire d'elle. Et il n'est pas simplement que; ce traitement frais de la scène a de façon ou d'autre un tempo qui vous vous sentez habituellement seulement en livres comiques réels. J'aime également comment des underplays de Nolan une scène tôt où Wayne doit apporter une fleur bleue simple vers le haut d'une montagne pour se prouver à la ligue des ombres. Ceci pourrait avoir été facilement tourné dehors dans l'absurde, mais Nolan et ses acteurs croient en scène et cela fonctionne. Les plaisirs de Batman commence sont nullement mineur ceux. C'est une grande fonte, c'est un grand directeur, et c'est un grand film. Et je souhaite que je n'aie pas semblé corrompu quand je déplore que c'est tout qu'il est. Comme l'Araignée-Homme 2 d'année dernière, Batman commence en appelle tellement largement qu'il manque de l'intégrité et vraiment de beaucoup d'une âme. Emportez tous ces plaisirs simples de moviegoing et vous constaterez qu'il n'y a pas vraiment plus quelque chose pour des visionnements suivants et des dissertations. Je voudrais excuser l'excitation critique comme cas simple de soulagement du barrage continu du crap en mois d'été, et venir la fin de l'année, quand l'établissement voit réellement des films vraiment grands, Batman commence sera finalement placé dans son contexte approprié. Mais, des alas, j'ai été prouvé mal avec l'Araignée-Homme 2. Prévoyez que Batman commence à faire le principal cinq de Roger Ebert venu janvier.

PS : c'est la traduction exacte, il se peut que certaines phrases n'est aucun sens :wink:
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Messagede Kittycat » Ven 28 Oct 2005, 12:05

pour traduire google c'est pas la joie, autant s'acheter un dico anglais frencais et ecouter en cours d'anglais :wink:
Kittycat
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Messagede Hadès » Ven 28 Oct 2005, 12:12

Pour déchiffrer un français approximatif et incohérent... c'est encore plus facile de traduire directement.

Mais bon, je vais couper et faire une traduction littéraire des bons passages tout à l'heure.

C'est surtout la longueur du texte et son absence d'intertitres qui est rébarbative :x
:Joker: AhahHaha HahaHA HihIHihIiHi hAHahA HihIHihIiHi AhahHaha HahaHA HihIHihIiHi hAHahA HihIHihIiHi AhahHaha HahaHA HihIHihIiHi hAHahA HihIHihIiHi AhahHaha HahaHA HihIHihIiHi hAHahA
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Messagede Monsieur B » Ven 28 Oct 2005, 13:37

schmuck ça veut dire "andouille, abruti"


euh ne prenez pas la peine de tout tradurie franchement, ça n'en vaut pas le coup, le type s'est lancé dans une analyse psychothérapique de Batman qui m'a quand même bien fait hurler de rire.

je crois que l'auteur n'a jamais lu un seul comics et s'est contenté des films.


si vous voulez je peux vous donner l'idée de base du texte :

en gros il dit que Batman Begins est pas mal mais qu'il ne respecte pas l'esprit de Batman alors que celui de Burton le fait bien mieux. S'en suit une "analyse" psychothérapique de Batman (enfin du personnage principal du film de Tim Burton plutôt).

pas très intéressant même si ses arguments contre Begins se valent.
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Messagede Hadès » Sam 29 Oct 2005, 11:57

Suite à la discussion intéressante à propos des adaptations :bat: de Burton et Nolan sur un autre topic, je propose de la continuer ici. Dans la foulée, j'ai transformé ce topic en sondage et j'ai rajouté Joel Schumacher pour la forme.

Ce qui a été dit :
Harley Quinn a écrit: Au moins,Sam Raimi n'oublie pas l'élément le plus important:l'iconisation du héros. Une chose que Mr Nolan semble avoir oublié....

Darkseid a écrit:C'est quoi ces bétises, Batman begins est la meilleure représentation de Batman au cinéma, le héros, symbole de la peur est présent comme jamais..

Harley Quinn a écrit: Ca c'est sur que si l'on a pas compris que Batman devait faire PEUR,en sortant de la projection de Batman Begins,c'est qu'on a dù s'endormir devant,étant donné que ce mot est répété dans presque toutes les scènes.
Désolé,mais moi,je n'ai pas vu une seule fois un Batman héroïque dans le film.A chaque que Nolan s'apprête à en faire une icone,il arrête tout,et nous ressert sa dose de réalisme.
J'ai bien aimé la première partie du film,mais dès que Bruce Wayne devient Batman...Plouf!Batman ne begins pas,peut-être dans le prochain.

Monsieur B a écrit:Nolan ne maitrise pas encore le sujet mais pour une première je pense qu'il faut être indulgent.
après tout Begins est sensé être le premier volet d'une trilogie. Je me demande ce qu'il va mettre dans les deux prochains films (si le dernier ça pouvait etre une adaptation du Dark Knight.... euh non finalement vaut mieux pas !).
De toute façon il reste les même défauts que dans les Batman précédents, un costume ridicule, des scènes de combats ridicules....

Lex777 a écrit:en meme temps il maitrise déjà bcp plus que Burton et que Schumacher à mon sens.


Quant à moi, j'ai une question, en quoi le Batman de Burton est-il plus une icône que celui de Nolan?
C'est à vous :bat:
:Joker: AhahHaha HahaHA HihIHihIiHi hAHahA HihIHihIiHi AhahHaha HahaHA HihIHihIiHi hAHahA HihIHihIiHi AhahHaha HahaHA HihIHihIiHi hAHahA HihIHihIiHi AhahHaha HahaHA HihIHihIiHi hAHahA
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Messagede Pottio © » Sam 29 Oct 2005, 12:12

Par rapport au sondage j'ai voté Batman Returns qui est le meilleur selon moi !

Mais j'aurai aimé que Batman contre le Fantôme Masqué soit rajouté car c'est quand même un film (bon ok c'est pas avec de vrai acteurs mais bon) et que je trouve que ce film est le meilleur !
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Messagede Septon » Sam 29 Oct 2005, 12:55

Si on parle de films Batman, alors je vote sans hésiter Batman Begins. Mais si on parle de films tout court, alors je vote Batman Returns.



Mais pour moi Batman Begins est un grand film, un film qui tient du rêve, un vieux rêve devenu réalité. La parfaite incarnation du Dark Knight à l'écran. Un blockbuster à peine visible sous tant de finesse et de profondeur. Ici nous n'avons jamais été aussi proche des comics, on sent que Nolan et Goyer tiennent à respecter le matériel d'origine et il en ressort l'agréable impression que c'est avant tout un film fait par des fans pour les fans. A aucun moment le sujet n'est prit à la légère. Mais le plus jouissif pour moi c'est vraiment l'approche scénaristique. Ici pas de gros vilain qu'il faut introduire en 30min crono et faire disparaître aussitôt pour que le grand public ne soit pas trop perdu, la narration est anti-conventionelle pour ce genre de film, ça pourrait très bien être un pur comics papier. D'ailleurs c'est très inspiré de YEAR ONE de Frank Miller, histoire déjà très réaliste, tout comme le film. Frank Miller a beaucoup aimé le film, il a senti le personnage vérédique, et pour moi c'est tout simplement la preuve irréfutable de la réussite de ce film.
Quant à ceux qui disent sur ce forum que le film est raté car Batman n'a pas de visière...je crois que ça se passe de commentaire !
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Messagede Hadès » Sam 29 Oct 2005, 13:32

Septon a écrit:Si on parle de films Batman, alors je vote sans hésiter Batman Begins. Mais si on parle de films tout court, alors je vote Batman Returns
Je n'ai pas compris la nuance, là...

Pour ma part, c'est aussi Batman Return que j'ai préféré, ne serait-ce que pour la magnifique prestation de Michele Pfeiffer. Bruce et Selina semblent être chacun désabusés, voire névrosés... par exemple, lorsqu'ils parlent d'assister à l'éclarairage du "machin" de Noël et surtout dans le combat final lorsque les masques tombent!

Sinon, c'est Batman Begins qui vient ensuite dans mes préférences.
Dernière édition par Hadès le Sam 29 Oct 2005, 14:55, édité 1 fois.
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Messagede Black Wizard » Sam 29 Oct 2005, 14:30

Pourquoi mon choix s'est-il porté sur Batman le défi ?!
Parce que...
Parce que c'est celui qui m'a le plus marqué et par conséquent, c'est celui qui me vient en premier à l'esprit lorsque j'évoque une adaptation cinématographique du Chevalier. :D
It's a kind of magic... :magi:
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Messagede Septon » Sam 29 Oct 2005, 15:45

Hadès a écrit:
Septon a écrit:Si on parle de films Batman, alors je vote sans hésiter Batman Begins. Mais si on parle de films tout court, alors je vote Batman Returns
Je n'ai pas compris la nuance, là...


Batman Begins est vraiment un film sur Batman, alors que les (néanmoins superbes) premiers films étaient plus des Tim Burton avec Batman. Tu vois ?

Donc tu me demandes le meilleur film traitant de Batman je te dis Batman Begins, mais tu me demandes mon film préféré je te réponds Batman Returns. :wink:
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Messagede Monsieur B » Sam 29 Oct 2005, 18:15

Quant à ceux qui disent sur ce forum que le film est raté car Batman n'a pas de visière...je crois que ça se passe de commentaire !


pourtant c'est un élément crucial... dans tous les films Batman, le costume est systématiquement raté :

-on met du latex ou du plastoc avec une peinture "black-storm-combat-ninja-of-the-night" pour que ça fasse dark et armure. passe encore pour les abdos en mousse apparents mais au moisn respecter le code couleur du costume
-la ceinture utilitaire... bon j'en parle pas
-les yeux. franchement ça m'horripile de voir les pupilles de l'acteur derrière le masque, un choix du réalisateur pour qu'on puisse ne rien perdre du "jeu de l'acteur".... n'importe quoi, imaginez Robocop sans visiére !!!
on perd le mythe de la "bête" en voyant ces pupilles voilà tout.

moi je considère tous les films sur Batman comme de mauvaises adaptations, Begins étant la moins mauvaise. Batman 1 reste un bon film pour moi (Burton est un petit malin) mais ça n'est pas Batman.


Monsieur B, ayatollah du respect du personnage.
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Messagede Hadès » Sam 29 Oct 2005, 19:30

Monsieur B a écrit:
pourtant c'est un élément crucial... dans tous les films Batman, le costume est systématiquement raté :
on perd le mythe de la "bête" en voyant ces pupilles voilà tout.
Quand j'ai vu les 4 1er films, j'approuvais plutôt les choix de design (excepté la dernière version de Schuma-Goret), mais il est vrai que j'avais pour référent non pas les comics mais la série live diffusée dans les 80's.
Je pense que Nolan ne pouvait pas faire autrement que de repartir des choix de Burton (armure noire) étant donné que le costume classique gris renvoit à une série live "grotesque".

A mon sens, l'essentiel du costume de Batman, c'est son masque et sa cape. Tant que la couleur ne vire pas au "flashy", ça n'a rien de choquant selon moi!
:Joker: AhahHaha HahaHA HihIHihIiHi hAHahA HihIHihIiHi AhahHaha HahaHA HihIHihIiHi hAHahA HihIHihIiHi AhahHaha HahaHA HihIHihIiHi hAHahA HihIHihIiHi AhahHaha HahaHA HihIHihIiHi hAHahA
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Messagede Benco » Sam 29 Oct 2005, 21:13

La visière de Batman est moins indispensable, dans une adaptation live, que celle de Daredevil ou Spider-man mais on peut qd même la regretter, j'avoue.

Concernant les films de Batman, je vais voter pour Batman returns qui atteint des sommets tant pour son ambiance que pour ses personnages. On est vraiment emporté par l'histoire.
Il repasse quand au ciné :?: lol
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Messagede Hal Jordan » Sam 29 Oct 2005, 21:16

Bon, j'ai voté pour BATMAN RETURNS par manke de MASK OF THE PHANTASM dans les choix.

Pour moi, BATMAN BEGINS est (avec le recul) le plus mauvais des films batmanien. Une grosse bouillie hollywoodienne, en totalle trahison du materiel d'origine(*), cherchant absolument a se demarker de tout ce ki avait été fait avant (l'exemple le plus evident etant le design de la BATMOBILE), le scénario est passablement portnaweske (bien sur, c'est du GOYER), les passages ridicules sont légion (ninjas tibetains, course en BATMOBILE sur les toits, le SCARECROW sur son cheval descendu par la potiche de service a coup de pistolet electrike,....), sans compter l'absence de morceaux de bravoure, propre a tout bon action movie ki ce respecte...
NOLAN ne s'est pas foulé pour chercher a peaufiner "son" film (les scénes d'action/baston sont illisibles, les reste etant honnete mais en aucun cas novateur ni spectaculaire). Les acteurs : a part C. BALE & M. CAINE, les autres n'ont pas l'air trés concernés par leurs persos (WATANABE inexistant, OLDMAN en roue libre).

Mais le pire, ce ki me fait placer BEGINS après les SCHUMACHER, c'est ke ce flim, contrairement aux 2 precedents & malgrés tout ses défauts (certains impardonables a mes yeux) se prend enormement au sérieux. Beaucoup trop au vu du resultat.

tout ça n'etant, bien sur, ke mon avis....


(*)..ce k'on peut egalement reprocher a BURTON, mais lui avait une vision artistike, stylisée de l'univers de BATMAN.
Dernière édition par Hal Jordan le Sam 29 Oct 2005, 21:24, édité 1 fois.
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