J'ai lu seulement les quelques premiers posts parce que j'ai (presque) rien lu de ce que j'ai ressenti. Donc j'balancerai peut-être des trucs déjà dit.
'fin bref : Brian Singer est décidément à mettre à la poubelle quand il atterrit dans la maison de mes idées. J'avais pas vraiment aimé les deux premiers X-Men, non plus Usual Suspesctcts (ranaf'), alors que X-Men First Class m'avait emballé. J'précise que j'avais oublié le réalisateur en regardant le film.
Now, j'attaque !
Putaiin ! Déjà en voulant éviter le plus de spoilers possibles, j'ai eu la déveine de croire que les deux équipes se rencontreraient vraiment, or c'est pas le cas, mais alors, pas du tout. Bon, c'est pas si grave, et puis le film dans son ensemble n'est pas déplaisant, hein, j'étais d'ailleurs bien pris jusqu'à l'évasion de cocognéto. En fait, le trio chouineur Xav'-Ryry-Mymys (elle a un prénom ?) m'a gavé en prenant trop de place et surtout en collectionnant les "Je t'aime. Moi non plus" à n'y plus rien suivre.
Donne-moi de la soupe sentimentale, yeah yeah yeah ! ♪ L'intrigue ton sur ton m'a également ennuyé, à savoir un futur apocalyptique sur un passé marqué du sceau de la dépression ambiante. Sans compter le décalage énorme entre l'espoir sur lequel finissait le précédent opus (si j'dis pas de idioties, en tout cas avec une équipe soudée) et ces années 70 soudainement tristes à pleurer.
Après y'a plein de (petits) trucs que j'trouve dommage. J'envoie pêle-mêle. Wolvie sert malheureusement que de Terminator (mais heureusement qu'il est là, quand même). Dr Trask est monoexpressif, à tel point que j'pouvais pas m'empêcher de pouffer à chacune de ses apparitions (son nanisme joue au début mais n'explique pas ça sur la durée). L'intérêt d'un méchant dans ce genre de films est pourtant qu'on ressente un peu d'empathie pour lui. Là, rien, aucun trauma causé par un mutant ou que sais-je, le mec est juste un cerveau sur pattes avec un désir de contrôle à gerber. Vif Argent avait du potentiel mais gicle rapidement. Pas assez d'action, et la scène parisienne m'a pas transporté. Omar Sy ? Non.
Par contre, histoire de finir sur une bonne note : Wolvie qui sort dans la rue en veste en cuir 70s, sur du funk, ça valait l'coup du déplacement.
