Fin de Spiderman 94:
"Guerres secretes"
Jolie partie d'échec avec d'un côté:
- le Lézard
- Crane rouge
- Docteur Doom
- Octopus
- Alyster Smyth
et de l'autre :
- Spiderman
- Captain América
- Les 4 Fantastiques
- Tornade
- Iron Man
Bon le petit soucis c'est que du côté des vilains, il y en a qui ne sont pas vraiment méchants-méchants
.
Amusant de voir Spiderman chef du groupe plutot que Captain. D'ailleurs ce dernier a son bouclier, qu'il n'avait pas lorsqu'il s'est noblement sacrifié 2 épisodes avant. Bon on va dire que c'est la machine qui l'a amené qui fait bien les choses en amenant les accessoires
.
Pendant les premiers combats (lézard et vers de sable), la femme invisible ne s'est pas manifesté, on ne l'a même pas vu, a part quand son mari fait le tobogan (mais ne peut elle pas "voler")
Voir Peter plus intelligent que Red ou Tony, ça fait bizarre mais bon, c'est sa série
Guerres secrètes est sympa qui oppose le bien et le mal mais on ne sent pas vraiment l'ampleur du truc, c'est censé être un combat Bien/Mal mais fait presque fade si on le considère comme tel.
Le Dernier combat
Joli clin d'oeil, le Spider-Carnage est vêtu comme Ben Reilly quand ce dernier avait succédé à Peter en tant que Spiderman (araigné sur la poitrine plus grande, lanceur visible). Comme le DCAU n'a pas eu assez de Nightwing (mais c'est que mon avis
), je trouve dommage qu'il n'y ait pas eu plus de Scarlet Spider
.
Un joli panel de Spiderman "What If". Le Spiderman en armure fait très Iron Man, que ce soit l'armure, l'argent ou la personnalité. D'ailleurs ce "monde parfait" voit Peter fiancé à Gwen Stacy, le fameux grand amour de sa vie, son oncle et sa tante vivants, Spiderman acclamé par les foules et même un robot personnel. D'ailleurs ce robot, comme les robots crane de "guerres secrètes" sont fortement inspirés des Sentinels je trouve.
Le monde du Spiderman sans pouvoir est le notre. En regardant dans le bureau, on peut voir des tableaux : l'un représente Spiderman un autre un visage vert, on peut penser à Hulk.
une belle conclusion "Je me suis accepté", "il faut bien devenir adulte un jour, c'est vrai aussi pour les personnages de fiction"
(Kobra Confesses et Rumble Station)
