De La Tour des Héros.
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Version du 23 novembre 2021 à 01:50
Tale of Two Sisters est, selon l'ordre idéal, le soixante-dix-huitième épisode en tout et le cinquième de la quatrième saison de la série La Ligue des Justiciers, Nouvelle Génération. L'épisode ouvre l'arc des sœurs Crock avec les Ombres.
Histoire
La vie d'Artemis Crock est interrompue par de mauvaises nouvelles — alors que plusieurs membres de la Ligue de l'Ombre se mettent sur son chemin.
(résumé HBO Max)
Doublage
Distribution
Crédits
Ci-dessous, les rôles tels que répertoriés dans le générique de fin original.
Commentaires
Titres
Comme le reste des épisodes de cet arc (Une traversée du miroir, X, l'inconnue derrière deux portes et Dans une cage, les chats chantent), le titre est un jeu de mots entre Artemis et une œuvre littéraire anglophone célèbre.
Tale of Two Sisters est un jeu de mots entre la relation sororale entre Artemis et Jade et le roman A Tale of Two Cities (VF : Le Conte de deux cités) de Dickens.
Détails
Continuité
Références culturelles
- A Tale of Two Cities (VF : Le Conte de deux cités) est un roman de charles Dickens publié pour la première fois en 1859 sous la forme d'un feuilleton dans un hebdomadaire. Le roman narre la vie de plusieurs personnages, dont la vie est partagée entre Paris et Londres, sous fond de Révolution française grondante. Au long de l'épisode, Artemis se trouve à étudier l'œuvre avec ses étudiants. Pendant le générique de fin, elle récite la fin du roman, lle monologue d'un avocat désabusé de sa vie qui la sacrifie pour sauver celle d'un autre :
I see a beautiful city and a brilliant people rising from this abyss, and, in their struggles to be truly free, in their triumphs and defeats, through long years to come, I see the evil of this time and of the previous time of which this is the natural birth, gradually making expiation for itself and wearing out.
I see the lives for which I lay down my life, peaceful, useful, prosperous and happy, […] I see that I hold a sanctuary in their hearts, and in the hearts of their descendants, generations hence. I see her, an old woman, weeping for me on the anniversary of this day […]
It is a far, far better thing that I do, than I have ever done; it is a far, far better rest that I go to than I have ever known.
Traduction : Je vois une belle ville et un peuple brillant se lever de cet abîme et par ses luttes pour conquérir la vraie liberté, au cours des longues années à venir, expier, puis effacer les maux de cette époque cruelle et de celles plus cruelles encore qui l’avaient fait naître.
Je vois les vies pour lesquelles j'ai donné la mienne, paisibles, heureuses, prospères […] Je vois le sanctuaire qui m'a été fait dans leur cœur, et dans ceux de leurs descendants. Je vois une vieille femme me pleurant à l’anniversaire de ce jour. […]
C'est de loin la meilleure chose que j'aie faite, que je n'aie jamais faite ; c'est vers un bien meilleur repos que je vais, un repos que je n'ai jamais connu.
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Voir aussi
Sources et autres liens recommandés :