April 25, 2024, Thursday, 115

La Société secrète (2e partie)

De La Tour des Héros.

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La Société secrète (2e partie) (The Secret Society) est, selon l'ordre idéal, le 44e épisode de La Ligue des Justiciers et le 18e de sa saison 2.

La Ligue des Justiciers
Épisode
Titre français La Société secrète
Titre original The Secret Society
[La Société secrète]
N° ordre idéal 44
Saison 2e
N° de prod. 46
1re diff. USA Cartoon Network (sam. 22 nov. 2003)
1re diff. francophone France 3 (dim. 11 janv. 2004)
Format image Widescreen mais…
Durée ± 21 minutes
Scénario Stan Berkowitz
Réalisation Dan Riba
Musique Michael McCuistion
Studio d'animation DR Movie Co., LTD.
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La Société secrète (1) Deuil (1)
Guide des épisodesForum

Sommaire

Histoire

Alors que la Ligue se remet à peine d'un cuisant échec, la Société secrète met au point un plan afin de capturer un à un les Justiciers et de montrer au grand jour leur prise de contrôle.

Flash commence à chercher la trace de Shade avec deux de ses complices. Il apprend où se trouve son repaire, à la station de métro de North Hill. Il se fait cependant capturer par Sinestro. Batman, contacté par Flash, rejoint sa trace dans la station désaffectée et comprend, trop tard, le piège tendu par la Société secrète.

Le reste de la Ligue se réunit à nouveau sur le terrain d'entraînement, avant d'être attaqué par la Société secrète. Green Lantern, ayant repéré une caméra qui l'espionnait, remonte la trace de Grodd. Clayface le neutralise et ajoute Lantern avec les six autres justiciers.

La Ligue, entièrement prisonnière de la Société secrète, est embarquée jusqu'au stade de Gotham City, dans lequel va se jouer la dernière partie du plan de Grodd…

Images

Doublage

Distribution

Personnages Voix originales Voix françaises
Batman Kevin Conroy Bruno Carna
Hawkgirl Maria Canals Martine Meirhaeghe
Green Lantern Phil LaMarr Michel Vigné
Wonder Woman Susan Eisenberg Marie-Frédérique Habert
J'onn J'onzz Carl Lumbly Boris Rehlinger
Superman George Newbern Emmanuel Jacomy
Flash Michael Rosenbaum David Krüger
Grodd Powers Boothe Marc Alfos
Clayface Ron Perlman *
Sinestro Ted Levine Patrick Larzille (sauf la 1re scène)
Parasite Brian George Olivier Cordina
The Shade Stephen McHattie Jean-Loup Horwitz
Giganta Jennifer Hale *
Killer Frost Jennifer Hale Caroline Maillard
Voyou #1 * Roland Timsit
Voyou #2 * Olivier Cordina
Un spectateur * Olivier Cordina
Annonceur du stade Phil LaMarr Jean-Loup Horwitz

Remarques

Commentaires

Titres

Comme pour la première partie, la VF s'aligne sur la VO.

Analyse

L'épisode est émotionnellement très puissant. Non seulement les justiciers échouent à nouveau à combattre la Société secrète, mais ils doivent assumer leur désunion au grand jour. Les animosités ont tout de même conduit le groupe à se dissoudre. Le retour, au terme d'épineux affrontements, vers l'esprit d'entraide et de camaraderie révèle une nouvelle étape de maturité et confirme qu'en héros, ils effacent leurs rancœurs personnelles au nom d'un idéal supérieur. Cependant, bien que Flash le pense à la fin de l'épisode, l'atmosphère délétère qui tenait le groupe depuis la 1re partie n'était pas uniquement la conséquence des pouvoirs de Grodd (cf. Citations). Comme ce dernier le confirmait, son pouvoir mental ne permet que d'accentuer une causticité déjà latente au sein de l'alliance des héros. J'onn répond donc à Flash que le gorille manipulateur n'est qu'une partie de la réponse et admet que chaque justicier a sa part de responsabilité. En conscience de cause et en vertu d'un intérêt supérieur, la Ligue semble se reformer (cf. Citations).

On saisit la géniale originalité de l'épisode grâce à une inversion paradigmatique aussi rare que bienvenue. Comme nous l'avons décrit pour la première partie, les deux équipes inversent les codes généralement convoqués dans les séries animées. À force de ridiculiser les « méchants » et de ne jamais leur prêter des caractéristiques propres et réalistes, les scénaristes finissent par affadir l'intérêt des confrontations de méta-humains. Warner Bros fait ici le pari de la nouveauté et propose des super-criminels à la mesure de l'ambition de la série tout entière. Grodd, le cerveau de l'équipe, incarne à lui seul cet opportun remaniement. Tout son discours, dans la première partie, consiste à revenir sur la bassesse des associations de criminels, dépeintes comme des agrégats informes, uniquement mus par l'intérêt personnel. La Société secrète érige en valeur cardinale la solidarité, sans doute la caractéristique classique des équipes de super-héros. Le groupe apprend peu à peu à s'entendre et à travailler intelligemment de concert. Pour reprendre la phrase de Clausewitz, l'« emploi de la violence physique (…) n'exclut aucunement la coopération de l'intelligence » (De la guerre). La Société secrète ne déroge pas à la règle clausewitzienne qui lui assure sa singulière réussite contre la Ligue.

Toutefois, l'épisode ne brille pas sur tous les tableaux. Bien entendu, la Ligue n'est finalement pas vaincue, ce qui signifie, fatalité narrative oblige, qu'il y a bien eu une faille dans le plan de Grodd. La première étant, à l'instar des films d'espionnage cités par Gueule d'Argile (en réalité, J'onn ; cf. Citations), que l'on attend au dernier moment d'éliminer les héros, leur laissant l'occasion de s'enfuir ou de contre-attaquer. Une nouvelle fois, Grodd le justifie par le « sens du spectacle » qu'il y aurait à éliminer, devant des millions de spectateurs, la Ligue des Justiciers. Trahison du réalisme ou goût prononcé pour la mise en scène ? La frontière s'amincit par le simple fait qu'aucun ligueur ne parvient à s'enfuir. C'est une autre instance de résolution qui intervient. Il est également possible de saisir la portée d'une exécution devant un public en masse, plutôt que dans l'« entrepôt miteux » de la première partie.
L'infiltration de J'onn est tout autant sujette à caution. Ce n'est pas tant le calcul savant et pourtant fait à la hâte du Martien qui pose problème, mais la cécité de ses compères et du pourtant sagace Grodd. En dépit d'une furtive complainte (« J'aurais dû m'en douter »), l'absence de doutes des Sociétaires met à mal les précautions prises au début de l'épisode. Tâchons donc de marquer la nuance dans l'engouement qui verrait à louer la prise de risques de La Société secrète.
Si troisième faille il y a, on peut la situer dans la victoire des Justiciers. En plus de lui réserver un sort ci-après, on peut raisonnablement justifier leur exaltation à battre la Société secrète. L'influence négative de Grodd perd de son intensité. Les Justiciers sont à présent au fait de leurs manquements passés. Au fond, les défaites passées ne sont que des plaies béantes que l'ardeur du combat tente de refermer. Le spectateur est lui-même désireux de voir la Ligue l'emporter après la cruelle vulnérabilité dont elle a fait preuve. De plus, les héros ne deviennent pas tout à coup invincibles, comme ce peut être le cas dans d'autres séries, où le schématisme est poussé à son extrême. Batman semble présumer de sa puissance face à un Shade qui a « étoffé [ses] compétences ». Les ondes télépathiques de Grodd sont toujours redoutablement efficaces.

D'une certaine façon, ce double-épisode aurait pu convenir à un épilogue de saison. D'abord, il dévoile vertement les importantes dissensions de la Ligue, déjà sensibles au cours des précédents épisodes. La relation entre Hawkgirl et Wonder Woman n'est qu'un exemple qui nie toute facticité des divisions internes survenues dans la Société secrète. L'épisode Vengeance donne un avant-goût des divergences d'opinion des deux héroïnes. Ce n'est donc pas un hasard si leur querelle se poursuit jusque dans la saison 4 de la série, dans laquelle l'épisode Le Bien et le Chaos (The Balance) fait le jeu d'une cordiale réconciliation.
Ensuite, on assiste à une lente agonie des Justiciers, par deux fois défaits par la Société secrète. Finir la première partie sur une dissolution implicite est en soi un pari osé. Certes, la seconde partie conclut sur un retour à la normale, mais elle n'efface pas par magie ce qui s'est produit antérieurement. Il y a bien un nouveau départ à la fin de La Société secrète, un nouveau souffle qui amorce habilement la fin des aventures classiques de la Ligue avant la crise thanagarienne et la fondation de la Nouvelle Ligue des Justiciers.
Enfin, La Ligue des Justiciers n'étant définitivement pas une série comme une autre, le combat final est à plus d'un titre anthologique. Les premières secondes jouissent, fait assez rare pour l'époque comme pour aujourd'hui, d'une animation en 24 images par seconde. Certes, le résultat peut paraître brouillon si l'on se concentre sur les détails, mais le dynamisme est d'une splendeur inégalable. Sur le plan technique, l'épisode met en jeu autant d'audace qu'il en serait pour conclure une saison.

La mise en scène générale est rondement menée. La deuxième partie semble calculée au millimètre près. La supercherie de la Société secrète ne peut que tromper le spectateur au premier visionnage. Alors que certains héros disparaissent de l'écran, ils appellent au secours quelques instants plus tard. L'enchaînement des plans est non seulement ingénieux mais il conserve un rythme des plus haletants, face à une situation dramatique pour la Ligue. Les connaisseurs identifieront bien entendu l'ignominieux imitateur…

En parlant de Gueule d'argile, une fois entendu le fait que c'est le Martien qui prend sa place durant une bonne partie de l'épisode, il peut paraître curieux qu'il n'ait pas contacté par télépathie le reste de son équipe au lieu que chacun se fasse capturer. Il ne pouvait être certain que Grodd ne les éliminerait pas sur-le-champ et, surtout, que le gorille lui demanderait au stade de préparer ladite élimination, lui laissant ainsi l'occasion de sauver la Ligue. Cette hypothèse aurait en tout cas mis le combat dantesque de côté, ce qui aurait représenté une lacune des plus fâcheuses.









Détails

  • On peut entendre le thème musical de Flash quand il empêche son informateur de s'écraser au sol et quand il vainc Killer Frost.
  • Bat-embargo oblige, ce sera la dernière apparition de Gueule d'Argile dans le DCAU. Peut-être a-t-il réellement disparu dans le « bouquet final » !
  • On observe que Green Lantern parvient à enrayer la construction de Sinestro d'une façon quelque peu discutable. Alors que Sinestro déploie un tigre géant, John lui assène une simple épée et la construction jaune se dématérialise… Étrange… surtout si l'on considère que la lumière émeraude sera toujours plus faible que le pouvoir jaune de la Peur.
  • On peut noter que la stylique de Gueule d'Argile, appelé ici Clayface en VF, reprend celle connue sous Les Nouvelles Aventures de Batman. Inévitablement, le résultat est graphiquement moins prestigieux que sous la série-mère, Batman, où Gueule d'Argile bénéficiait d'une animation très détaillée en 24 images par seconde. Le fait est que le coût devenait, à terme, déraisonnable. Les dessinateurs ont donc préféré épurer le personnage, devenant moins gluant et « coulant » que ce que l'on connaissait naguère.
  • Par ailleurs, on observe que, par opposition, J'onn J'onzz se sert des mêmes pouvoirs que Gueule d'argile pour le combattre. Or, le reste de la série ne nous a jamais réellement montré l'étendue de pouvoirs que déploie ici le Martien.
  • Sinestro affirme que son anneau est aussi rapide que Flash, c'est-à-dire la vitesse de la lumière. En vérité, la célérité maximale du bolide écarlate, telle qu'illustrée dans l'épisode Éclipse, ainsi que dans Unis pour le pire dans la saison 4, n'atteint pas celle de la lumière, à savoir 300 000 kilomètres à la seconde… (ou, très précisément, 299 792 458 mètres par seconde). La puissance jaune de la Peur lui est légèrement supérieure.
  • On apprend que Flash a joué un rôle dans l'obtention par Grodd de ses actuels pouvoirs psychiques. Cela remonte à la première apparition du gorille dans la série, La Cité des singes.
  • On peut supposer que lorsque Clayface aplatit Green Lantern contre le mur, il lui communique sa réelle identité par télépathie. Ce n'est pas un hasard si c'est lui.

Format

Bien qu'il ait été réalisé et diffusé aux États-Unis en 16/9 (Widescreen), l'épisode est programmé en 4/3 (Full Screen rogné au Pan&Scan) lors de ses programmations sur France 3 et Club RTL. Le format original est respecté sur les coffrets DVD (Widescreen mais non anamorphosé).

Références culturelles

La scène d'ouverture du combat dans le stade est un hommage amusant au générique de la 4e saison du Plein de Super (en VO, Challenge of the Super Friends). On comprend la référence par rapport à une série qui voyait très régulièrement des affrontements entre les héros et la Légion du Destin, laquelle comptait déjà à l'époque Grodd, Sinestro et Giganta. L'épisode de La Ligue des Justiciers est en tous points supérieur à ce que proposait la série des années 1970, aussi bien techniquement qu'artistiquement.

Citations

Shade : Voilà pourquoi la Ligue s'est séparée si brutalement. C'est toi qui les y as forcés.
Grodd : Ah non, mes pouvoirs ne sont malheureusement pas aussi puissants. Je les étudie depuis des mois et j'ai appris à déchiffrer leur gestuelle, à comprendre la moindre de leur réaction. Grâce à cela, j'ai su qu'il existait des tensions sous-jacentes au sein du groupe. Tout ce que j'avais à faire, c'est de m'assurer que ces pulsions enfouies s'extériorisent. (…) Nous avons réussi à diviser, il ne nous reste plus qu'à conquérir.


Hawkgirl : Tu ne nous vois pas comme des individus à part entière, mais comme de simples soldats qu'on peut facilement remplacer. Tu ne tiens pas à nous comme à des amis proches.
Green Lantern : C'est complètement faux, et tu le sais !
Hawkgirl : Je sais que tu ne tiens pas à moi.
Green Lantern : Mais qu'est-ce que tu racontes ? J'irais jusqu'à sacrifier ma vie pour toi !
Hawkgirl : Si seulement c'était vrai…


Clayface (J'onn J'onzz) : Est-ce que tu te rappelles les vieux films dans lesquels je tournais ? Ceux où le vilain prenait tout son temps pour tuer le héros ? Et grâce à cela, il parvenait toujours à s'échapper.
Grodd : Non, désolé, Clayface, je ne suis pas très cinéphile.
Clayface (J'onn J'onzz) : Ce que je veux dire, c'est qu'on devrait les éliminer sans attendre. Tu n'as qu'à…
Grodd : Mais où est donc passé votre sens du spectacle, Mr Hagen ? L'élimination de la Ligue est quelque chose qui doit se faire devant le monde entier.


Grodd (devant la foule du stade) : Nous avons délibérément choisi cet endroit pour nous produire, car ici, les forts et les puissants l'emportent toujours sur les faibles. Comment des primates soi-disant évolués peuvent venir assister à ce genre de spectacle alors qu'en dehors de cette enceinte, vous faites tout votre possible pour ébranler les hommes de pouvoir et les empêcher de réaliser leur destin hors du commun. Mais cette ère sera bientôt révolue. (…)


Green Lantern : Nous étions tous sous son influence.
Flash : Génial ! Et qu'est-ce qu'on fait, maintenant ?
Green Lantern : On les bat le plus vite possible.


Grodd : Il est encore temps de te joindre à moi.
Superman : De quoi est-ce que tu parles ?
Grodd : Ne joue pas les imbéciles. Nous sommes des êtres supérieurs. Nous sommes nés pour diriger le monde.
Superman : Rends-toi sans faire d'histoires !
Grodd : Dommage. (Le paralysant :) Tu as laissé passer ta chance, et vu tes souffrances, tu dois t'en mordre les doigts.
Superman (difficilement) : Je me suis déjà senti… plus… mal… (Il le projette d'une simple pichenette.)


Flash : Waouh ! Tout est redevenu normal ! (Essuyant des regards noirs :) Quoi, c'est pas le cas ?!
Wonder Woman : Beaucoup de paroles blessantes ont été dites.
Flash : Ouais, mais on était tous manipulés et on ne pensait que…
J'onn : Au contraire, nous pensions ce que nous avions dit.
Hawkgirl : Bon alors, qu'est-ce qu'on fait ?
Green Lantern : La seule chose qu'on puisse faire, c'est de s'excuser et de passer l'éponge.


Traduction

Quelques éléments à relever dans la VF :

  • Quand Flash suspend par les jambes le malfrat qu'il veut faire parler, ce dernier lui répond, en VO : «  Look, buddy, I know Batman. I once ratted out a counterfeiter to Batman. And believe me, you are no Bat-MAAAAAAAAAAANNN! » [Écoute, mon pote. Je connais Batman. J'ai même mouchardé quelqu'un qui se faisait passer pour lui. Et crois-moi, tu n'es pas Batman…]. La VO fait d'une réplique deux coups : non seulement elle ne perd pas la syllabe finale quand l'homme est en train de chuter, mais elle est une référence à la célèbre phrase du sénateur américain Lloyd Bentsen, en 1980 : « Senator, you are not Jack Kennedy » [« Sénateur, vous n'êtes pas Jack Kennedy »]. La VF omet la référence sans l'adapter de quelconque manière et la syllabe du cri de chute ne correspond pas à ce qu'il disait : « Écoute, mec, ton bluff ne marchera pas avec moi. J'ai déjà eu affaire à ton collègue, la chauve-souris. Et tu peux me croire, tu ne lui arrives pas à la chev-…AAAH !».
  • Quand Batman déjoue le piège de Gueule d'Argile, ce dernier lui demande ce qui l'a trahi (« What gave me away? »). Le Chevalier Noir lui rétorque en français : « Il n'aurait jamais appelé de renforts, lui ». La VF passe à côté d'un détail de langage en VO. En fait, quelques minutes auparavant, Flash appelait Batman pour lui demander secours (« Yo Bat’! Come on! »). Il s'agissait bien entendu de Gueule d'argile affectant un enjouement peu ordinaire. En VO, Batman répondra donc : « You overplayed your part, yo! » [« Tu as surjoué ta partie », en ajoutant le petit « yo », hélas omis en français]. On perd le raté comique du criminel argileux qui essayait un « yo » déjà entendu en VO. En effet, ce tic de langage est repris de l'épisode Éclipse, dans lequel le bolide écarlate, pour les besoins d'une publicité, finissait par dire en anglais : « Thanks, yo! » à un enfant lui lançant la marque des barres chocolatées.

Médias (DVD)

Cet épisode se retrouve sur :

: ce drapeau indique que le média comporte une piste audio VF.


La musique du double-épisode est hélas absente de l'album de la série. Si elle n'était pas l'une des plus marquantes, elle contenait des pistes intéressantes, notamment lors des multiples combats entre les deux équipes.
Ayons également une pensée pour la performance de Shanna Squires au stade de Gotham City, hélas interrompue par Grodd !

Diffusions

Quelques diffusions et rediffusions que nous avons pu relever sur les chaînes francophones :

Voir aussi

Sources et autres liens recommandés :