March 19, 2024, Tuesday, 78

Joyeux Noël Batman

De La Tour des Héros.

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Joyeux Noël Batman (Christmas with the Joker) est, selon l'ordre idéal, le 2e épisode de Batman : La Série animée. Cet épisode marque les premières apparitions, dans la série et dans le DCAU, de Robin, du Joker, de la journaliste Summer Gleeson et de l'asile d'Arkham.

Batman : La Série animée
Épisode
Titre français Joyeux Noël Batman
Titre original Christmas with the Joker
[Noël avec le Joker]
N° ordre idéal 2
N° de prod. 502
1re diff. USA FOX (vendredi 13 novembre 1992)
1re diff. francophone Canal+ France (date inconnue)
Format image 4/3 (Full screen)
Durée ± 21 minutes
Scénario Eddie Gorodetsky
Réalisation Kent Butterworth
Supervision musique Shirley Walker
Musique Michael McCuiston
Lolita Ritmanis
Studio d'animation Akom Production Co.
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Le Duel Épouvantable Épouvantail
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Sommaire

Histoire

Le soir de Noël, le Joker s'évade de l'asile d'Arkham sur un sapin volant ! De leur côté, Batman et Robin mènent leur patrouille nocturne. Le jeune acolyte regrette de ne pas profiter du réveillon, mais Batman lui promet, un peu à contrecœur, de regarder le film La Petite Fille aux allumettes dès leur retour. Malheureusement, le Joker en a décidé autrement en diffusant sa propre émission sur toutes les chaînes ! Il a d'ailleurs kidnappé le commissaire Gordon, la journaliste Summer Gleeson et l'inspecteur Bullock qu'il menace de tuer si le Justicier Masqué ne vient pas les délivrer avant minuit…

Batman et Robin se rendent alors à l'observatoire du Mont Gotham qui semble être la station émettrice... mais il s'agit en réalité d'un piège, le criminel ayant prévu de diffuser la mort de Batman en direct ! Le Duo Dynamique est aussitôt attaqué par un canon laser et des mannequins meurtriers…

Attention, spoiler ! Ce qui suit dévoile des éléments importants de l'intrigue.

Batman comprend alors que le Joker se trouve à l'ancienne usine de jouets Laffco. Là bas, le Joker menace de plonger les trois otages dans une cuve bouillante si le héros refuse d'ouvrir le cadeau que lui a préparé le criminel. Après avoir reçu une tarte à la crème en plein visage, Batman parvient tout de même à délivrer les otages et à vaincre le clown criminel !

En fin de soirée, de retour au manoir Wayne, Bruce et Dick regardent enfin leur film pendant qu'au fond de sa cellule, le Joker fredonne un air de Noël de sa propre composition…

Images

Doublage

Distribution

Personnages Voix originales Voix françaises
Batman / Bruce Wayne Kevin Conroy Richard Darbois
Inspecteur Harvey Bullock Robert Costanzo Gilbert Lévy
Commissaire James Gordon Bob Hastings Jean-Claude Sachot
Alfred Pennyworth Clive Revill Jacques Ciron
Le Joker Mark Hamill Pierre Hatet
Summer Gleeson Mari Devon *
Robin / Dick Grayson Loren Lester Georges Caudron
Un jeune homme * Philippe Peythieu
L'ours en peluche * Bertrand Liebert

Crédits

Ci-dessous, les rôles tels que répertoriés dans le générique de fin original. Le générique de la version française ne crédite ni les comédiens français, ni les comédiens originaux.

Remarques

  • En VO comme en VF, le Joker est magnifiquement interprété ! Mark Hamill et Pierre Hatet arrivent parfaitement à retranscrire la folie et la joie malsaine du personnage qu'ils interprètent ici pour la première fois mais dont ils deviendront quasiment indissociables par la suite aux yeux du public !
  • Du côté de la VO, notons que le rôle du Joker devait à la base être interprété par Tim Curry, qui avait même enregistré plusieurs épisodes, celui-ci inclus. Le rôle ne fut redistribué que tardivement, à tel point que l'animation de cet épisode et de plusieurs autres était déjà bouclée (en s'étant basée sur les enregistrements de Curry) ! Par conséquent, Hamill a du enregistrer sa partie tout en devant être raccord, dans son jeu et son débit, avec les séquences déjà terminées. Ainsi, une fois n'est pas coutume, le comédien VO a eu pratiquement les mêmes contraintes que son homologue de la VF !

Commentaires

Titres

  • Le titre original, Christmas with the Joker, fait référence aux traditionnelles émissions de Noël des télévisions américaines. La plupart d’entre elles ont un titre commençant par Christmas with… suivi du nom de l’animateur télé.
  • La version française, elle, se contente d'un Joyeux Noël Batman (sans aucune ponctuation).
Écouter la musique de fond

Analyse

L'épisode de Noël est un grand classique que toutes les séries américaines (animées ou non) pratiquent depuis toujours. Le genre implique pas mal de caractéristiques : les émissions spéciales, les films emblématiques, les décorations, la neige, les chants… On remarquera que l'épisode évite l'écueil de la sensiblerie si souvent présente dans ce type d'épisode. Celui-ci joue d'ailleurs de l'opposition entre les partisans du Noël heureux (que représente Robin) et les plus cyniques qui se montrent méfiants envers ce débordement d'optimisme (incarné par Batman)... Cet "affrontement" est d'ailleurs symbolisé par le film La vie est belle (It's a Wonderful Life) de Frank Capra (que la version française a bêtement occulté en parlant plutôt d'une obscure adaptation de La Petite Fille aux allumettes). Lorsque Robin propose de passer le réveillon en regardant ce film, Batman lui répond qu'il n'a jamais pu le visionner au-delà de son titre, ce qui sous-entend que ce dernier (La vie est belle) lui est insupportable.

  • Photo du film La vie est belle
    Photo du film La vie est belle
    En fait, Batman a un a priori sur ce film, ce qui est assez fréquent pour l'ensemble de l'œuvre de Frank Capra qui, au premier abord, peu sembler moralisatrice ou désuette. Elle met souvent en scène des personnages justes et loyaux devant se mesurer à un monde difficile, cruel et corrompu où l'espoir a bien peu de place. C'est en fait le sujet même de l'épisode Joyeux Noël Batman : deux héros devant se mesurer à un fou cruel dans une course-poursuite où, petit à petit, l'espoir semble perdu (même Batman dit dans la Batmobile qu'il craint que tout soit perdu pour les otages). Et puis finalement, comme dans le film La vie est belle, l'optimisme et la pugnacité l'emportent, ce qui fait dire à Bruce Wayne (en VO uniquement) que le film/la vie a ses bons moments.
  • Cet épisode est remarquable sur plusieurs plans et notamment sur son ambiance. La bande originale somptueuse, magique et mystérieuse colle tout à fait avec l'ambiance recherchée par les scénaristes. Du côté des décors, tout est dans l'esprit des films de Capra (les zones d'ombres inquiétantes), du Casse-Noisette de Tchaïkovski et du Batman de Tim Burton.


Détails

  • On peut relever une erreur dans le générique de fin, où le compositeur Michael McCuistion est crédité "Michael McCuiston".
  • Joyeux Noël Batman introduit les personnages du Joker, de Robin et de Summer Gleeson ainsi que le célèbre asile d'Arkham. Les origines de Robin ne seront dévoilées que plus tard. Quant à celles du Joker, elles seront parfois suggérées ultérieurement, mais jamais explicitement montrées.
  • On notera que, contrairement à l'habituel costume violet, le Joker porte un pull rouge pour l'occasion (qui avec le vert de ses cheveux fait "très Noël").
  • Au moment où le "canon" de l'observatoire menace de tuer Batman, le Joker se tourne vers la caméra et annonce que les téléspectateurs doivent rester avec lui après la pub. Il s’en suit un fondu au noir qui correspond réellement à une coupure publicitaire à cet endroit aux États-Unis.
  • Présenter une émission de télévision semble plaire au Joker puisqu'il recommencera notamment dans Blessures anciennes de The New Batman Adventures et dans le double épisode Royal Flush de la 2e saison de La Ligue des Justiciers.
  • Aux États-Unis, cet épisode a été diffusé pour la première fois bien après les deux épisodes Double Jeu (contant les origines de Double-Face) or l'histoire de Christmas with the Joker se déroule bien avant l'accident d'Harvey Dent. Pour preuve, on peut reconnaître le procureur Dent (non défiguré) parmi les silhouettes en carton (représentant les sommités de Gotham City) que le Joker utilise comme public (2e et 3e images, 1er rang, à droite). Notre ordre idéal corrige ce problème de chronologie.


Incohérences ou Éléments inexpliqués

Quelques petits détails :

  • Dans le public en carton créé par le Joker, on peut voir un personnage ressemblant étrangement à Alfred Pennyworth. S'agit-il vraiment du majordome de Bruce Wayne ? Si oui, pourquoi le Joker l'a-t-il choisi ? Comment le connaît-il ?
  • Lorsque Batman se fait tirer dessus dans l'usine de jouets Laffco, sa cape est trouée par les balles. Les impacts n'apparaissent plus par la suite.

Références culturelles

Diverses références culturelles :

  • Au tout début de l'épisode, le Joker chante une chanson sur l'air de Jingle Bells mais dont les paroles mettent en scène Batman :

Jingle bells, Batman smells,
Robin laid an egg;
The Batmobile lost a wheel,
And the Joker got away !

Ce qui pourrait se traduire par : Les cloches sonnent, Batman pue / Robin a pondu un œuf / La Batmobile a perdu une roue / Et le Joker s'est enfui !

Cette chanson n'est pas une création de la série, mais une parodie apparue dans les cours de récré des écoles américaines dans les années 70 (peut-être motivée par la série Super Friends alors très populaire à l'époque). Cette parodie est d'ailleurs interprétée par Bart Simpson en 1989 dans l'épisode de la première saison des Simpson, Noël mortel.

Notons également que dans l'épisode Panique dans le ciel (JLU), Flash fait référence à cette chanson. Lorsqu'on lui demande où est Batman, il répond qu'il sait juste que la Batmobile a perdu une roue et que le Joker s'est enfui !

  • On retrouve également deux airs de Casse-Noisette, ce célèbre ballet de Tchaïkovski joué pour la première fois en 1892. L'histoire se passe à Noël et raconte l'histoire merveilleuse d'une petite fille qui reçoit en cadeau un casse-noisette à l'effigie d'un soldat. Dans la nuit, les jouets s'animent et entrent en conflit avec les souris. La musique correspond à la scène où Batman et Robin sont attaqués par des jouets géants, scène dans laquelle on notera l'effort fourni pour qu'images et musique correspondent parfaitement.
  • On retrouve d'ailleurs dans cet épisode la tendance au gigantisme propre à certains comics Batman de l'Âge d'Argent, tels les soldats de plombs géants du Joker qui évoquent le casse-noisette à l'allure de soldat du ballet de Tchaïkovski.
  • Au début de l'épisode, avant de quitter Arkham, le Joker est salué par un détenu ressemblant étrangement à Charles Manson. Manson est un célèbre psychopathe qui a conduit une petite secte criminelle et est notamment responsable du meurtre de l'actrice Sharon Tate, épouse du réalisateur Roman Polanski. L'équipe artistique n'a jamais confirmé sa volonté de faire référence à ce criminel, mais si c'est bien le cas, il ne faut sans doute pas y voir un quelconque "hommage" à ce dernier. Il s'agit plutôt de montrer que le Joker, encore plus fou que Manson, inspire le respect à ce dernier (qui le salue) et partage ses délires pervers. Après cela, qui pensera encore que l'équipe artistique voulait faire un épisode de Noël classique et dégoulinant de bons sentiments ?
  • En VO, Robin compare Batman à Scrooge qui est l'un des plus célèbres personnages de fiction anglo-saxonne, héros du Chant de Noël de Charles Dickens publié en 1843. Scrooge est un homme avare et odieux qui change suite à la visite de trois esprits la nuit de Noël : celui du passé, celui du présent et celui du futur. On notera aussi que c'est le nom original de l'oncle Picsou chez Disney. Scrooge est ainsi devenu synonyme d'avarice et de misanthropie dans la culture américaine.
  • Le mot "humbug" revient souvent dans la version originale. Ce terme, qui signifie en quelque sorte "fumiste" ou "imposteur", est aussi associé au Chant de Noël de Dickens, puisque Scrooge, maudissant les fêtes de fin d'année qu'il considère comme une grande supercherie, répète souvent : « Bah, humbug ! » (bah, ce n'est que supercherie !).
  • Deux références sont faites à des classiques de Noël (une en VF et l'autre en VO). En VF, il s'agit de La Petite Fille aux allumettes, un conte écrit par l'écrivain danois Andersen en 1848 racontant l'histoire d'une petite fille qui meurt de froid le jour du nouvel an dans une totale indifférence. Ce choix est quelque peu étrange puisque peu de films marquants ont adapté cette histoire extrêmement triste.
  • En VO, il s'agit de La vie est belle (It's a Wondefull Life), film diffusé chaque année le jour de Noël sur les chaînes américaines. Réalisé par Frank Capra en 1946 et mettant en scène James Stewart, ce film est considéré comme l'un des plus grands de l'histoire du cinéma. Il raconte les déboires d'un homme qui, bien qu'il se dévoue corps et âmes aux déshérités, sera sauvé du suicide par son ange gardien. On notera d'ailleurs que Dick se moque de Bruce en lui demandant si l'histoire d'un homme qui se dévoue pour une ville sans penser à lui-même lui rappelle quelqu'un.
  • Sur le plateau de l'émission du Joker, on aperçoit un arbre de Noël en piteux état (sans la moindre épine). Il s'agit d'un clin d'œil au film A Charlie Brown Christmas, le premier film animé mettant en scène les Peanuts et diffusé chaque année, en période de Noël, aux États-Unis.
  • Le Joker offre une poupée à Summer Gleeson. Il s'agit, comme il le dit en VF, d’une Betty Boop (célèbre personnage créé en 1930). En VO, le Joker fait un jeu de mot en l'appelant "Betty Blooper" ("Blooper" signifiant "Bêtisier", une allusion à la poupée mécanique qui, quelques secondes plus tard, écrase maladroitement une maquette de Gotham).
  • Lorsque le Joker fuit face à Batman, il lui dit, en version originale « Run run as fast as you can, you can't catch me, I'm the Joker man!», une référence à « Run run as fast as you can, you can't catch me, I'm The Gingerbread Man! », célèbre phrase du conte The Gingerbread Man que l'on connaît un peu chez nous sous le nom Le Petit Bonhomme de pain d'épices (popularisé ces dernières années par son adaptation dans les films Shrek).
  • À la fin de l’épisode, le Joker chante sur l'air de Deck the Halls, un autre classique des chants de Noël. Le Joker prononce juste la phrase Don we now our gay apparel, ce qui signifie "Nous revêtons nos habits de fête", clin d'œil au fait qu'il porte à présent sa camisole.

Deck the halls with boughs of holly
Fa-la-la-la-la, la-la-la-la
'Tis the season to be jolly
Fa-la-la-la-la, la-la-la-la
Don we now our gay apparel
Fa-la-la, la-la-la, la-la-la.
Troll the ancient Yule-tide carol
Fa-la-la-la-la, la-la-la-la.

Citations

Le Joker, sur l'air de Vive le vent : L'horrible chauve-souris / Et son bouffon Robin / N'ont qu'à bien se tenir / Car le Joker est libre !


Le Joker : Cher public à croquer, j'ai préparé pour vous un événement exceptionnel : vous allez assister en direct à la mort de Batman !


Robin : On peut dire que tu sais manier la batte, man !


Dick : Oui, Bruce n'avait jamais vu La Petite Fille aux allumettes
Bruce : Je préfère le Joker aux oubliettes !


Alfred : It was nice of Commissioner Gordon to give you that recording of It's a Wonderful Life.
Dick : And it is a wonderful life…
Bruce : It has its moments !


Traduction

La traduction française édulcore la violence de l'épisode et gomme quelques références culturelles jugées trop américaines ou non comprises par le traducteur :

  • Au début de l'épisode, la parodie de Jingle Bells est bien entendue traduite et modifiée. Les paroles sont légèrement changées mais restent sur l'air de Jingle Bells (Vive le vent en français). Le Joker parle de Batman et de "son bouffon Robin".
  • Le nom d'Arkham n'est pas mentionné en VF (on parle de centre psychiatrique).
  • On ne peut s'empêcher de se poser la question : pourquoi avoir changé La vie est belle en La Petite Fille aux allumettes ? D'autant qu'on a du mal, en français, à comprendre pourquoi Robin se réjouirait de passer le réveillon en regardant un film qui devrait être aussi triste…
  • En VF, les acolytes du Joker sont surnommés Nitro et Glycérine, alors qu'en VO ils sont appelés Donner et Blitzen, les prénoms de deux des rennes du Père Noël !
  • Contrairement à la VO, la VF ne précise pas que le petit personnage que crée le Joker avec sa main (Laffy) est un elfe censé l'aider (en référence, bien entendu, aux lutins du Père Noël).
  • La cruauté du Joker est souvent atténuée dans l'épisode par la VF. Par exemple, quand il apprend que la mère de Summer Gleeson se trouve dans le train qui doit dérailler, il fait un simple jeu de mots, alors qu’en VO, il précise que cela rend la situation encore plus amusante.
  • Curieuse traduction : lorsque Batman et Robin affrontent les jouets du Joker, il est question, en VF, d'appliquer « un plan boomerang » (alors que rien de ce qui est lancé ne revient). En VO, il s'agit d'une « Operation cause and effects », ce qui est plus logique.
  • Autre bizarrerie de la VF : lorsqu'on tire sur Batman et Robin, le premier crie « Attention ! Derrière nous ! » (alors que Robin esquive déjà les balles !). En VO, Batman crie tout simplement « Sniper ! » pour rappeler à Robin ce qu'il est convenu de faire dans ce cas là. Ou la VF a voulu éviter l'anglicisme, ou un traducteur zélé a sans doute pensé que le mot était trop compliqué ou violent pour un programme pour enfants (puisque tous les dessins animés étaient traduits dans cette optique à l'époque).
  • À la fin de l'épisode, lorsque Dick commente le film La Petite Fille aux allumettes (ou La vie est belle) que lui et Bruce viennent de regarder, ce dernier fait un jeu de mots très poussif (« Je préfère le Joker aux oubliettes ») alors qu'en VO, Bruce admet, comme le héros de La vie est belle, que la vie est parfois belle.
  • Dans sa cellule, le Joker chante l'air de Deck the Halls. En VF, sa phrase devient « Mon pyjama est trop serré », chanté sur un ton qui rappelle plutôt la chanson paillarde « Mon pantalon est décousu, si ça continue, on verra… ».

Médias (DVD, VHS et CD)

Cet épisode est l'un des plus exploités en vidéo et DVD (sans doute aussi parce qu'il figure parmi les premiers de la série). On le retrouve sur :

: ce drapeau indique que le média comporte une piste audio VF.


Notons également que la musique de cet épisode, répartie sur huit pistes, est disponible sur le premier disque du double-CD Batman: The Animated Series, aujourd'hui épuisé. Le site de l'éditeur en propose un extrait, tiré de la reprise de Casse-Noisettes.
Les 5 morceaux manquants (qui, cumulés, ne représentent somme toute que 1:51 minute de musique), seront proposés sur le second disque du volume 4.

Diffusions

Quelques diffusions et rediffusions que nous avons pu relever sur les chaînes francophones :

Références

Sources images et infos :